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dessins
de Mai 68 |
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Siné / Iconovox
On
connaît les slogans de mai 68, on connaît
les affiches sérigraphiées par les
Beaux-arts, mais on sait moins que ces événements
ont fait éclore toute une génération
de dessinateurs de presse parmi lesquels Siné,
Cabu, Willem, Wolinski, Pétillon, Cardon,
qui aujourd’hui encore, tiennent le haut du
pavé.
Petite
histoire racontée par Iconovox.
Lire
l'article >> |
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Fait
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Le blog de françois forcadell
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L’actualité
de l’image dessinée
Tous mes remerciements à
mon correspondant J-M. B
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Siné
viré de Charlie, suite des suites
A ce jour (24.7.2008) quelques 1900 signatures
de soutien à Siné viré de Charlie
hebdo par Philippe Val sont venues se rajouter à
la pétition initiale de 2000 signatures. Parmi
les noms de la première liste on peut remarquer
de nombreux confrères mais aussi Nicole Blondeaux,
femme de Gébé, celle de Patrick Font ex-complice
de scène de Val, et de Isabelle Soulié,
ex-femme de Cabu.
La décision de licenciement ne fait d’ailleurs
pas l’unanimité dans la rédaction
de l’hebdomadaire puisqu’on retrouve dans
la pétition les signatures de Willem
et Tignous et que, d’après
nos informations, les « historiques » du titre Cavanna, Wolinski, ainsi que certains
dessinateurs, n’approuveraient pas tout à
fait la décision de P. Val.
Nul doute que le comité de rédaction du
jeudi 24 juillet risque, pour une fois, d’être
animé.
Delfeil
de Ton, ancien de Charlie hebdo, le
« vrai », prend lui aussi position dans un
billet publié sur le site de l’Obs à propos de la mainmise de P. Val sur le journal
(extrait) : «Dans notre monde libéral, les
idées finissent toujours par appartenir à
ceux qui ne les trouvent pas.» La sentence de M.
Philippe Val, penseur contemporain, figurait donc en couverture
du numéro 1 du nouveau «Charlie-Hebdo».
En 2004, lorsque parut un livre, «Les Années
Charlie, 1969-2004», qui prétendait
retracer l'histoire du journal, cette couverture y fut
republiée sur une pleine grande page mais la sentence
n'y figurait plus. Le court texte, dans lequel elle se
trouvait, avait été supprimé. C'est
ainsi qu'on fait l'histoire, au nouveau «Charlie-Hebdo».
C'est
pourtant la pensée la plus juste du penseur contemporain
mais c'est aussi que le penseur, qui n'a pas trouvé
cette idée qui s'appelle «Charlie-Hebdo»,
pas plus qu'il n'a trouvé cette idée d'appeler
un journal «Charlie», cette idée
lui appartient aujourd'hui grâce au monde libéral
où il navigue avec une si remarquable aisance.
Ces choses, je n'avais jamais pris la peine de les dire.
Je me soucie de ce Charlie-Ersatz comme d'une guigne,
je ne le lis pas. DDT. »
Plantu,
lui, consacre sa page de L’express à l’affaire
avec un dessin à la Siné où l’on
voit un Philippe Val affublé d’un brassard
qui botte le cul de Siné et surmonté de
la légende « Charlie le journal où
on peut tout se permettre même virer un dessinateur
». A voir en grand format sur le
site de soutien.
A
noter sur le même site la chronique
hebdomadaire de siné qui n’a pas été
publiée par Charlie mais que plusieurs sites Internet,
dont le Nouvelobs.com, diffusent. Siné y expose
sa version de l’affaire et parle notamment de Charb,
rédacteur en chef adjoint de Charlie qu’il
considérait jusqu’alors comme son «
neveu » et qui a pris fait et cause pour P. Val.
Autre
personnalité à avoir apporté son
soutien à P. Val, Bernard Henri Levy,
le philosophe, qui dans un grand article alambiqué
publié dans Le Monde (23.7.2008) justifie
l’antisémitisme supposé du texte de
Siné.
A
suivre.
le
site de soutien à Siné
|
Siné
viré de Charlie / Suite
La
pétition initiée après le licenciement
du dessinateur Siné, viré de Charlie hebdo
par Philippe Val suite à une dénonciation
de soupçon d’antisémitisme, aurait
recueilli d’après le site du NouvelObs.com
plus de 2 000 signatures.
De très nombreux dessinateurs, parmi lesquels Pétillon,
Plantu, Desclozeaux, Geluck, Willem, Chimulus
(fils de Jacques Faizant), Lefred-Thouron,
comptent parmi les soutiens du dessinateurs, mais il faut
aussi remarquer que de nombreuses personnalités
comme Guy Bedos, Gisèle Halimi, Fernando
Arrabal, Benoît Delépine, Michel Onfray,
Gilles Perrault, François Maspero, entre
autres, ont pris fait et cause pour Siné. A noter
parmi les signataires Nicole Blondeaux, la femme
de Gébé.
le
site de soutien à Siné
Du côté de l’hebdomadaire satirique, Philippe Val déclare : «
Je vais arrêter de répondre à tout
ça », trouve que « cela devient trop
dégueulasse, tellement ignoble » et être
en bute à des menaces d’agression physiques
qui débordent de sa boîte d’e-mails.
Une « chance » pour lui, P. Val est déjà
occasionnellement sous protection policière depuis
la publication des caricatures sur Mahomet et le procès
qui a suivi.
A
Charlie hebdo, le site bakchich.info raconte que «
Val, qui parle d’un « moment pénible
», estime que Siné «
a préféré s’exclure ».
Il ajoute : « Je le regrette ». De leur côté, Bernard Maris (directeur adjoint de la
rédaction), Gérard Biard (rédacteur en chef) et Charb (rédacteur
en chef adjoint) écrivent, dans une « note
aux lecteurs », que Siné a porté «
atteinte » aux « valeurs essentielles »
de Charlie. « Il était prévu que la
rédaction (le) réprouve sobrement et qu’(il)
s’en explique et s’en excuse », ajoutent-ils,
mais « finalement il a refusé ». Et
de conclure : « Nous regrettons la décision
de Siné. Nous regretterons aussi Siné ».
C’est pas nous c’est lui…
Quelle
que soit l’issue de cette « affaire »
nul doute qu’elle laissera des traces au sein de Charlie hebdo, les positions au sein de la rédaction
n’étant pas unanimes, Wolinski
et Willem soutiennent Siné et
d’autres s’interrogent. Pour le lectorat également
cela ne risque pas d’être simple si l’on
en juge par les commentaires sur Internet, beaucoup semblent
déplorer ce licenciement.
A
noter pour la petite histoire que Claude Askolovitch,
journaliste du Nouvel observateur qui a «dénoncé
l’affaire à Philippe Val et sur RTL est annoncé comme futur n°2 du Journal
du Dimanche, hebdomadaire du groupe Lagardère.
Le
texte de Plantu publié dans L’Est
Républicain :
« Charlie fait le contraire de ce qu’il prône
»
« Oui, Siné est viré alors qu’il
n’a fait que de la provocation. Charlie Hebdo fait
le contraire de ce qu’il prône, censure la
liberté de parole. Mais ce n’est pas la première
fois. Il faut arrêter la démagogie qui laisse
à penser qu’on peut tout dire ou dessiner
à Charlie Hebdo. Cela fait des années que
je dis que c’est faux. J’y ai travaillé
quelques semaines et il n’était pas imaginable
que je puisse faire le moindre dessin positif sur l’école
privée. Que ce soit clair, Charlie Hebdo est un
journal de provocateurs, un journal que j’aime,
qui fait du bien, avec des dessinateurs provocateurs,
mais, dans la provocation, il convient également
d’accepter les dérapages. Siné a fait
un dérapage mais on ne peut pas le taxer d’antisémite
pour autant. Après avoir poussé dehors le
dessinateur Lefred Thouron il y a quelques années,
Charlie vient de faire la plus belle connerie qu’il
a jamais faite ! Je ne veux pas croire que les dessinateurs
de Charlie Hebdo acceptent une telle censure ».
A
suivre
Pour
en savoir plus sur le site du Gloupier...
|
Philippe
Val vire Siné de Charlie hebdo
Les faits racontés dans un texte de soutien
à Siné qui circule actuellement : «
le mardi 8 juillet, sur les ondes de RTL, Claude Askolovitch,
journaliste du Nouvel Observateur dénonçait
« un article antisémite dans un journal qui
ne l'est pas ».
Claude
Askolovitch faisait allusion à une chronique de
Siné dans Charlie Hebdo :
«
Jean Sarkozy, digne fils de son paternel et déjà
conseiller général de l'UMP, est sorti presque
sous les applaudissements de son procès en correctionnelle
pour délit de fuite en scooter. Le Parquet a même
demandé sa relaxe ! Il faut dire que le plaignant
est arabe ! Ce n'est pas tout : il vient de déclarer
vouloir se convertir au judaïsme avant d'épouser
sa fiancée, juive, et héritière des
fondateurs de Darty. Il fera du chemin dans la vie, ce
petit ! »
Menacé
d'être traîné devant les tribunaux
pour antisémitisme, Philippe Val, le directeur
de publication de Charlie Hebdo, a enjoint Siné
de signer une lettre d'excuses à Jean Sarkozy,
écrite par la direction de Charlie. Siné
a refusé.
En conséquence, dans le numéro du 16 juillet,
Philippe Val demande à Siné de quitter le
journal. »
Les
auteurs du texte poursuivent : « Où est l'antisémitisme
dans le texte de Siné ? Il y dénonce seulement,
avec le ton fleuri qui est sa marque de fabrique, l'opportunisme
du fils du Président de la République. Philippe
Val et la direction de Charlie Hebdo se sont couchés
devant Jean Sarkozy. Grand bien leur fasse, leurs lecteurs
apprécieront. D'autres, continuent à la
radio de faire des procès en antisémitisme
comme certains, naguère, en sorcellerie. »
Va-t-on
assister à Charlie hebdo à une grève
de soutien à Siné ?
A
suivre.
Pour
en savoir plus sur le site Bella Ciao...
Pour
en savoir plus sur le site de Marianne 2...
|
Tignous
en procès
Cabu,
Willem, sont les maîtres incontestés du reportage
dessiné. Il y a eu aussi Bernar, hélas décédé
en 2006, mais il faut désormais classer dans cette
catégorie Tignous.
Certes
les lecteurs de Charlie hebdo connaissent son travail
depuis longtemps, mais l’album Le procès
Colonna qui vient de paraître aux éditions
12bis, nous confirme son talent, dans un genre où
beaucoup s’essayent mais dans lequel peu réussissent.
Seul
bémol, un maquette un tout petit peu trop dense.
Les textes qui accompagnent les croquis d’audience
sont signés Dominique Paganelli. |
Les
univers de Jean Gourmelin à Beaubourg
Jean
Gourmelin à créé un monde graphique
fantastique qui n’appartient qu’à lui.
Adoré par Philippe Soupault, Jacques Sternberg,
Cavanna et Willem, entre autres, il a traversé
les époques tout en cultivant un trait élégant
et un univers surréaliste.
La
Bpi, Bibliothèque publique d’information,
rend hommage à l’ensemble de son œuvre
du 18 juin au 29 septembre 2008 en présentant ses
dessins de presse, ses affiches et illustrations de livres,
ainsi que nombre d’aquarelles et dessins qu’il
a réalisé ces dernières années.
À
cette occasion Le Cherche midi publie Les univers
de J. Gourmelin, un album de 96 pages qui accompagne
l’exposition.
Après
les expositions Reiser, Willem, André François, cette évènement marque le très net
intérêt de la Bpi pour le dessin et le dessin
de presse. Ces manifestations sont complétées
par des Ateliers du dessins de presse animés par Honoré (Charlie hebdo)
et Jean-Pierre Desclozeaux (Le Monde).
A
noter que la Bpi organisera le 26 septembre une journée
consacrée à l’avenir du dessin de
presse. Plus d’informations dans les blogs à
venir. |
Les
Parisiennes à Paris
Il
y a quelques années un recueil de dessins des « Parisiennes »
publié chez Assouline (et préfacé
par Carla Bruni), remettait au goût du jour le dessinateur
Kiraz (Edmond Kirazian) né en 1923 au Caire.
Quelques
publicitaires s’emparèrent alors de ses dessins
pour vendre du sucre de synthèse, des voitures
et des produits cosmétiques. Toutes ces campagnes
publicitaires popularisèrent cet auteur dont les
gouaches élégantes firent, entre autres
magazines, les beaux jours de l’hebdomadaire Jours
de France.
Redécouvert
en France il continuait cependant a être publié
depuis des années dans Playboy, aux Etats-Unis.
Le
Musée carnavalet lui consacre une grande exposition : Les Parisiennes de Kiraz
du 14 mai au 21 septembre 2008. 23 rue de Sévigné
75003 Paris. Tel. 01 44 59 58 58
Site
internet
À
noter qu’un catalogue est édité à
cette occasion : Les Parisiennes de Kiraz. Ouvrage
broché, 22 x 27 cm, 128 pages, 111 illustrations
couleur. Éditions Paris-Musées, 22 €
Kiraz
"Les Parisiennes"
L'artiste
Edmond KIRAZ chez lui.
Une
petite interview d'Edmond Kiraz sur les femmes...
|
Cabu
68
« Cabu
le poilu des barricades » titrait l’excellent
site ActuaBD.com à propos du livre Cabu 68 édité par Actes Sud.
Un
livre copieux, abondamment illustré, faits d’entretiens
avec la journaliste Laure Garcia dans lequel Cabu évoque
cette période tourmentée qui vit la publication
de ses premiers dessins politiques dans L’Enragé,
journal créé par Siné. Un document. |
Cabu
2008
Avant,
Cabu, Cabu était déjà un grand dessinateur.
Il suffit de feuilleter l’album Pas complétement
bête... mais pas encore méchant, que
publient les éditions Le Layeur pour se rendre
compte que son talent était très précoce
et très prometteur.
Du
journal de lycée, le Petit Fum's, point
de départ de sa carrière de dessinateur
de presse, à Hara - Kiri, Cabu aura collaboré
à de nombreux titres, comme à l'Union
de Reims, auquel, dès l'âge de 15 ans,
il livrait plusieurs dessins par semaines.
Appelé
en Algérie, il dessine pour le journal Le Bled,
notamment la série "La Fille du colonel",
premiers pas vers un antimilitarisme qu'il développera
par la suite. Comme tous les autres albums de Cabu publiés
par Le layeur, celui-ci à été réalisé
par Bernard Fournier. |
Boboland
Dupuy
& Berbérian sont deux auteurs BD, brillants
et talentueux, ouverts sur le monde et la société
qui les entoure. Ils viennent de publier Bienvenue
à Boboland (Fluide glacial), un album cruel
sur les bobos, mais que ceux-ci vont forcément
adorer.
Olivier
Mimran dans 20mn : « Nourrir un SDF,
pratiquer le bookcrossing (je laisse un livre dans un
lieu public pour que d'autres en profitent), consommer
bio et high-tech tout en se préoccupant de l'environnement...
Aucun des travers des « bourgeois bohêmes
» n'est oublié, surtout pas les plus ridicules.
Mais
si le ton général des vingt-quatre saynètes
de l'album est un rien ironique, il demeure souvent très
drôle. Et laisse surtout transparaître une
vraie tendresse pour une classe un peu paumée,
et finalement plutôt sincère. » |
Un
pavé dans les droits
Michel
Wlassikoff, auteur du livre Mai 68 : L'affiche en héritage,
paru aux Editions Alternatives, raconte à propos
du dessin de cette célèbre affiche de mai
68 : « Tirée dans un premier temps
en sérigraphie sans inscription, cette affiche
a ensuite été imprimée en offset
avec un SS rajouté sur le bouclier, en plus du
slogan « CRS SS » figurant à droite
du personnage.
L’image
représente la première version, dont le
tirage initial remonte au 19 mai. Même si l’anonymat
est respecté pendant plusieurs années, l’illustrateur, Jacques Carelman, en revendique la paternité
à partir de 1988. Depuis, l’Association des
auteurs graphiques et plastiques lui verse des droits
dès que le dessin est reproduit. C’est le
seul cas d’attribution officielle d’une affiche
de Mai 68 ! »
Une
revendication que confirme Jacques Carelman dans un entretien
accordé à l’hebdomadaire Marianne
à propos de l’utilisation de cette image
par les magasins Leclerc :
« Marianne: Michel-Edouard Leclerc a révélé
qu'il vous avait acheté les droits de la plus célèbre
des affiches de Mai 68 pour sa pub. Ce n'était
donc pas une oeuvre anonyme ?
Jacques
Carelman : J'ai dessiné cette affiche dans l'atelier
de l'Ecole des beaux-arts de Paris, après avoir
vu des CRS réprimer une manifestation. Elle était
destinée à être collée en nombre
sur les murs. Contrairement à ce qu'on croit, sur
l'original, il n'y avait pas «SS» sur le bouclier.«CRS
SS», ça me gênait. Quelqu'un l'a ajouté
par la suite. Ce qui m'a d'ailleurs valu d'être
recherché par la police pour injure...
Pourquoi
revendiquer la propriété artistique ?
J.C.
: Depuis le début, elle est utilisée par
l'édition, pour illustrer des jeux de société
et de cartes postales. J'ai même été
invité un jour aune expo à la Bibliothèque
nationale où des femmes en vison picoraient des
petits-fours sous les affiches accrochées aux murs
! En 1998, lors du 30eanniversaire, plusieurs grands hebdos
ont fait leur une avec cette affiche. Je me suis dit qu'il
fallait parler d'argent avec des gens qui font de l'argent,
et j'ai entrepris les démarches.
Certains
vous reprochent d'avoir fait de Mai 68 une marchandise.
J.C.
: Faut pas m'emmerder avec de faux procès. Si je
n'avais pas donné mon accord, Leclerc aurait détourné
le dessin. Le code-barres dans le bouclier, c'est le moins
grave. Il voulait y faire figurer « Loi Galland
», pour expliquer que les consommateurs étaient
matraqués par la loi Galland, à la place
de « SS ». Vous imaginez !
Parlons
argent, justement. Leclerc a-t-il payé très
cher ?
J.C.
: Vous plaisantez ? Ils essaient de payer le minimum,
en expliquant que la campagne est moins importante que
prévue, alors qu'il y en a plein les murs et les
journaux dans toute la France. Pour l'instant, la négociation
n'est pas terminée. Je ne donne donc pas de chiffre.
Carelman,
artiste plasticien, auteur d'une des affiches de Mai 68.
Auteur du Catalogue d'objets introuvables, Le
Cherche-Midi.
Michel
Wlassikoff, auteur du livre Mai 68 : L'affiche
en héritage, paru aux Editions Alternatives,
et commissaire d'une exposition sur le même thème,
qui sera présentée à la galerie Anatome,
du 7 mai au 26 juillet 2008. |
Cruel
Dilem
Repéré
sur par notre correspondant sur
le site de Liberté, quotidien national d’information
algérien. |
Plantu
for peace
Plantu
et ses collègues Ali Dilem (Algérie) et
Kichka (Israël) étaient le 23 juin sur le
plateau de LCI pour promouvoir les actions de Cartooning
for peace, association internationale de dessinateurs
de presse.
Ils
ont annoncé diverses actions dans les écoles
et une exposition à Paris au mois de novembre 2008.
Le
site Cartooning for peace. |
Plantu-Daumier
même combat
Exposition
Daumier-Plantu, La récurrence du dessin politique.
Conçue
et réalisée par le Musée des Baux
de Provence, Bouches-du-Rhône, en partenariat avec
la Mairie des Baux de Provence, le Conseil Général
des Bouches-du-Rhône, le Conseil Régional
Paca, le Ministère de la Culture, Direction Régionale
des Affaires Culturelles.
L’exposition
se déroule jusqu’au 30 octobre 2008, au Musée
Yves Brayer, Hôtel des Porcelet,13520 Les Baux Les
Baux de Provence…
Pour
en savoir plus. |
Blachon
for ever
Jusqu’au
24 juillet, l’atelier An-Girard à Paris,
expose une sélection de dessins originaux de Blachon.
Un
émouvant hommage à ce dessinateur disparu
au mois d’avril de cette année.
A
noter que le prochain Salon de St Just-le-Martel rendra
lui aussi hommage à Blachon en présentant
plusieurs centaines de ses œuvres.
Atelier An-Girard, 7 rue Campagne Première 75014
Paris. Tél. : 01 43 22 01 16 |
Lefred
Thouron en procès
Lefred
Thouron et son complice Diego Aranega se sont rendus coupables
de l’album Casiers judiciaires (Dargaud).
Une
plongée vertigineuse dans le monde des palais de
Justice et des jugements expéditifs qui nous condamne
irrémédiablement au sourire perpétuel. |
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